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-Short Attention Span Theater- |
Today in History: Waterloo |
2007-06-18 |
![]() The principal armies of Napoleon's opponents were commanded by the United Kingdom's Duke of Wellington . . . . While the campaign hung in the balance for most of its duration, the decisive battle became the Battle of Waterloo. Allied forces, under Wellington, withstood a final French attack, and counter-attacked while the Prussians, arriving in force, broke through on Napoleon's right flank. . . . |
Posted by:Mike |
#6 On a related note ... Test them with a touch of trivia and, more often than not, they will be impressed with your expertise in the art of Eurovision. “Wasn’t it scandalous that the UK jury gave ABBA’s winning Waterloo nul points in 1974?” and nod convincingly. “Isn’t it bizarre that Germany has only won the contest once, in 1982?”and look sincere. “Just remind me again, who represented Sweden in 1968?”* and scroll to the bottom of this article. Or you can even try stating the obvious. “Don’t you just love Johnny Logan?” and try not to laugh. Europe ... I try, try not to laugh. |
Posted by: mrp 2007-06-18 17:32 |
#5 Waterloo Waterloo where will you meet your Waterloo Every puppy has his day everybody has to pay everybody has to meet his Waterloo Now ol' Adam was the first in history with an apple he was tempted and deceived Just for spite the devil made him take a bite And that's where ol' Adam met his Waterloo Waterloo Waterloo... Little General Napoleon of France tried to conquer the world but lost his pants Met defeat known as Bonaparte's reterat and that's where Napoleon met his Waterloo Waterloo Waterloo... Now a feller who's darling proved untrue took her life but he lost his too Now he swings where the little birdie sings And that's where Tom Dooley met his Waterloo Waterloo Waterloo... Stonewall Jackson |
Posted by: Shipman 2007-06-18 17:15 |
#4 The Iron Duke said this: "Hard pounding this, gentlemen; letÂ’s see who will pound longest." Words to remember for the modern generation. |
Posted by: Anguper Hupomosing9418 2007-06-18 15:29 |
#3 My my, at waterloo napoleon did surrender Oh yeah, and I have met my destiny in quite a similar way The history book on the shelf Is always repeating itself Waterloo - I was defeated, you won the war Waterloo - promise to love you for ever more Waterloo - couldnÂ’t escape if I wanted to Waterloo - knowing my fate is to be with you Waterloo - finally facing my waterloo My my, I tried to hold you back but you were stronger Oh yeah, and now it seems my only chance is giving up the fight And how could I ever refuse I feel like I win when I lose Waterloo - I was defeated, you won the war Waterloo - promise to love you for ever more Waterloo - couldnÂ’t escape if I wanted to Waterloo - knowing my fate is to be with you And how could I ever refuse I feel like I win when I lose Waterloo - I was defeated, you won the war Waterloo - promise to love you for ever more Waterloo - couldnÂ’t escape if I wanted to Waterloo - knowing my fate is to be with you Waterloo - finally facing my waterloo |
Posted by: Excalibur 2007-06-18 15:16 |
#2 "Where is Grouchy?" |
Posted by: mrp 2007-06-18 12:18 |
#1 Les châtiments - Victor Hugo livre V - L'autorité est sacrée 13 - L'Expiation II Waterloo ! Waterloo ! Waterloo ! morne plaine ! Comme une onde qui bout dans une urne trop pleine, Dans ton cirque de bois, de coteaux, de vallons, La pâle mort mêlait les sombres bataillons. D'un côté c'est l'Europe et de l'autre la France. Choc sanglant ! des héros Dieu trompait l'espérance ; Tu désertais, victoire, et le sort était las. Ô Waterloo ! je pleure et je m'arrête, hélas ! Car ces derniers soldats de la dernière guerre Furent grands ; ils avaient vaincu toute la terre, Chassé vingt rois, passé les Alpes et le Rhin, Et leur âme chantait dans les clairons d'airain ! Le soir tombait : la lutte était ardente et noire. Il avait l'offensive et presque la victoire ; Il tenait Wellington acculé sur un bois. Sa lunette à la main, il observait parfois Le centre du combat, point obscur où tressaille La mêlée, effroyable et vivante broussaille, Et parfois l'horizon, sombre comme la mer. Soudain. joyeux, il dit : Grouchy ! - C'était Blucher L'espoir changea de camp, le combat changea d'âme, La mêlée en hurlant grandit comme une flamme. La batterie anglaise écrasa nos carrés. La plaine où frissonnaient les drapeaux déchirés, Ne fut plus, dans les cris des mourants qu'on égorge, Qu'un gouffre flamboyant, rouge comme une forge ; Gouffre où les régiments, comme des pans de murs, Tombaient, où se couchaient comme des épis mûrs Les hauts tambours-majors aux panaches énormes, Où l'on entrevoyait des blessures difformes ! Carnage affreux ! moment fatal ! l'homme inquiet Sentit que la bataille entre ses mains pliait. Derrière un mamelon la garde était massée. La garde, espoir suprême et suprême pensée ! - Allons ! faites donner la garde, cria-t-il ! Et Lanciers, Grenadiers aux guêtres de coutil, Dragons que Rome eût pris pour des légionnaires, Cuirassiers, Canonniers qui traînaient des tonnerres, Portant le noir colback ou le casque poli, Tous, ceux de Friedland et ceux de Rivoli, Comprenant qu'ils allaient mourir dans cette fête, Saluèrent leur dieu, debout dans la tempête. Leur bouche, d'un seul cri, dit : vive l'empereur ! Puis, à pas lents, musique en tête, sans fureur, Tranquille, souriant à la mitraille anglaise, La garde impériale entra dans la fournaise. Hélas! Napoléon, sur sa garde penché, Regardait, et sitôt qu'ils avaient débouché Sous les sombres canons crachant des jets de soufre, Voyait, l'un après l'autre, en cet horrible gouffre, Fondre ces régiments de granit et d'acier Comme fond une cire au souffle d'un brasier. Ils allaient, l'arme au bras, front haut, graves, stoïques. Pas un ne recula. Dormez, morts héroïques! Le reste de l'armée hésitait sur leurs corps Et regardait mourir la garde. - C'est alors Qu'élevant tout à coup sa voix désespérée, La Déroute, géante à la face effarée, Qui, pâle, épouvantant les plus fiers bataillons, Changeant subitement les drapeaux en haillons, A de certains moments, spectre fait de fumées, Se lève grandissante au milieu des armées, La Déroute apparut au soldat qui s'émeut, Et, se tordant les bras, cria : Sauve qui peut! Sauve qui peut ! affront ! horreur ! toutes les bouches Criaient ; à travers champs, fous, éperdus, farouches, Comme si quelque souffle avait passé sur eux, Parmi les lourds caissons et les fourgons poudreux, Roulant dans les fossés, se cachant dans les seigles, Jetant shakos, manteaux, fusils, jetant les aigles, Sous les sabres prussiens, ces vétérans, ô deuil! Tremblaient, hurlaient, pleuraient, couraient. - En un clin d'œil Comme s'envole au vent une paille enflammée, S'évanouit ce bruit qui fut la grande armée, Et cette plaine, hélas! où l'on rêve aujourd'hui, Vit fuir ceux devant qui l'univers avait fui! Quarante ans sont passés, et ce coin de la terre, Waterloo, ce plateau funèbre et solitaire, Ce champ sinistre où Dieu mêla tant de néants, Tremble encor d'avoir vu la fuite des géants! Napoléon les vit s'écouler comme un fleuve ; Hommes, chevaux, tambours, drapeaux; - et dans l'épreuve Sentant confusément revenir son remords, Levant les mains au ciel, il dit : - Mes soldats mort, Moi vaincu! mon empire est brisé comme verre. Est-ce le châtiment cette fois, Dieu sévère ? Alors parmi les cris, les rumeurs, le canon, Il entendit la voix qui lui répondait : non! |
Posted by: anonymous5089 2007-06-18 11:15 |